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bernard-henri levy - Page 2

  • Feu sur la désinformation... (148)

    Vous pouvez découvrir ci-dessous un nouveau numéro de l'émission I-Média sur TV libertés, consacrée au décryptage des médias et dirigée par Jean-Yves Le Gallou, président de la fondation Polémia, avec le concours d'Hervé. L'émission est présentée par Olivier

    Au sommaire :

    • 1 : L’Imposteur BHL entarté par le Monde diplo
      Le Monde diplomatique ouvre 20 ans d’archives sur Bernard Henri Lévy. La filiale indépendante du groupe Le Monde revient sur la clémence du monde littéraire à l’égard de l’écrivain en qualifiant l’œuvre de BHL « d’invraisemblable tintamarre ». Pour le philosophe milliardaire, ce dossier est symptomatique de la « misère et du déshonneur de ce journal ». Une chose est sûre... la guerre est déclarée.
    • 2 : Le Zapping d’I-Média
      Macron sur la pente ! Le président a perdu 10 points de popularité en juillet, du jamais vu depuis Chirac en 1995. Pour les médias, cette baisse est en lien direct avec la démission du général De Villiers.
      Le République en Marche se défausse ! Depuis la parution du sondage sur la popularité de Macron, aucun député ou porte-parole du mouvement n’a accepté de défendre le président en plateau.

    • 3 : Haro médiatique contre les initiatives anti-migrants
      A Séméac dans les Hautes-Pyrénées, la population dresse un mur autour d’un futur centre d’accueil pour migrants. En mer méditerranée, les identitaires sillonnent les côtes libyennes à la recherche de bateaux transportant des clandestins. Des actions qualifiées par la presse de « Xénophobes », ou de « nauséabondes ».

    • 4 : Les tweets de la semaine.
      Le CSA inflige une amende de 3 millions d’euros à l’encontre de Touche Pas à Mon Poste pour un canular jugé homophobe. En imitant un homosexuel à la recherche d’un partenaire pendant plusieurs minutes, le producteur et animateur Cyril Hanouna s’était attiré la colère des associations LGBT. L’association Le Refuge était même allée jusqu’à diffuser des bobards dans la presse.
    • 5 : Ondes migratoires : Musiciens et sportifs le surhomme migrant
      La chronique de Nicolas Faure, Ondes Migratoires. Comment les médias mettent toujours plus en avant les qualités des migrants. Ils deviennent sportifs ou musiciens par un coup de baguette médiatique.

                                     

                                     

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  • La revue de presse d'un esprit libre... (31)

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    La revue de presse de Pierre Bérard

    Au sommaire :

    « Vous n’aurez pas ma haine ! ». Telle est la phrase rituelle et à tiroirs des victimes d’attentats que la presse s'efforce de privilégier modelant ainsi un type de commémoration destiné à brider une colère légitime. Excellente analyse de Laurence Maugest :

     
    L’école aux prises avec le communautarisme musulman par André Murawski, conseiller régional Hauts-de-France :
     
     
    Chronique du livre « Tarek, une chance pour la France ? » de Jean-François Chemain par Camille Galic :
     
     
    Le burkini ne serait pas une affaire de simple police des vêtements mais un défi civilisationnel. Article d’Aurélien Marq  :
     
     
    Recension par la courageuse démographe Michèle Tribalat du livre de Douglas Murray « The strange death of Europe : immigration, identity and islam ». c’est une analyse du déni des élites européenne face à l’immigration et à ses conséquences :
     
     
     
     
     
    Face aux fondamentalismes, la réponse polythéiste. Le nouveau numéro d’Éléments parait le samedi 22 juillet (couverture et sommaire complet, première référence). Après un copieux numéro de Krisis consacré au paganisme (seconde référence):
     
     
     
    Accompagnant la parution du dernier numéro d’Éléments (voir ci-dessus), Tv Libertés publie le deuxième épisode de l’émission « Le plus d’Éléments ». Animée par Olivier François, elle met en scène David L’Épée, Ludovic Maubreuil, Christophe A Maxime, Thomas Hennetier et Slobodan Despot dans un remarquable esprit de non conformisme tout azimut :
     
     
    Elisabeth Lévy présente le dernier numéro de causeur aux lecteurs du Figaro. Style enjoué sur des sujets austères :
     
     
    Réflexion judicieuse d'Alain de Benoist sur la morale et le politique :
     
     
    Dans sa dernière émission « Les idées à l’endroit » Alain de Benoist évoque la grande personnalité de Carl Schmitt en compagnie des universitaires Aristide Leucate et Alexandre Franco de Sa.
     
     
    Chronique du livre d’Alain de Benoist « Ce que penser veut dire » une anthologie bio-bibliographique des penseurs européens de Jean-Jacques Rousseau à Jean-Claude Michéa signée de Michel Geoffroy :
     
     
    Tournant majeur dans la généalogie de l’homo sapiens qui laisserait deviner la fin de la théorie « Out of Africa » :
     
     
    Éditorial de Philippe Conrad pour le hors série de la Nouvelle Revue d’Histoire consacré aux guerres de religion passées et présentes :
     
     
    Dans l’émission « Passé présent » sur TV Libertés Philippe Conrad et André Posokhow font le point à propos de la défaite de 1940 et de ses suites :
     
     
    Réformes Macron : 3 milliards d’impôts en moins pour les rentiers de la richesse qui ne représentent que 0,1% de la population. Article d’Emmanuel Lévy dans « Marianne » :
     
     
    Avec Macron le programme est clair : poursuite du sans-frontiérisme commercial, migratoire et moral par Jean-Yves Le Gallou qui passe en revue les hauts fonctionnaires qui dirigeront, de fait, la politique du nouveau gouvernement. Éloquent :
     
     
    L’élection Emmanuel Macron grâce au double appui de la haute fonction publique d’État et de l’oligarchie financière a été permise par la désaffection massive de l’électorat nous dit l'avocat Régis de Castelnau. Cette légitimité problématique expliquerait selon lui la grande désinvolture dont Macron, un godelureau dépourvu d’expérience, ferait preuve vis à vis de l’appareil d’État, et de citer à titre d’exemple son attitude vis à vis des armées et des organes judiciaires.
     
     
    Le théologien Paul Thibaud réfléchissant sur le discours devant l'ex Vel d’hiv d’Emmanuel Macron, analyse plutôt finement l’amnésie sur la Shoah qui a précédé Jacques Chirac et l’hypermnésie qui lui a succédé. Il en tire une conclusion qui va à rebours des convictions exposées par l’actuel président de la République : 
     
     
    Le vote confessionnel lors des élections de 2017 en France. Une analyse de Philippe Velilla pour le MAUSS :
     
     
    Comment les États du Golfe ont financé l’opération Timber Sycamore organisée par le général David Petraeus. Article fort bien documenté de Thierry Meyssan sur la plus importante affaire de trafic d’armes des récentes décennies afin d’alimenter les groupes djihadistes en Irak et en Syrie. On comprendra aisément que Macron comme Hollande éprouvent de sérieuses difficultés à désigner l'ennemi :
     
     
    Le général Dominique Delawarde est l’ancien chef du bureau « Situation-Renseignement-Guerre Électronique » de l’État-major interarmées de planification opérationnelle. Il étudie 
    ici (en février 2017) les relations entre les États-Unis, la Russie et Israël et tire des conclusions sur l’élection d’Emmanuel Macron, non encore advenue à cette date.
     
     
    Michel Drac chronique « Les blancs, les juifs et nous » d’Houria Bouteldja, porte-parole des indigènes de la République et en tire des conclusions peu amènes pour son auteur :
     
     
    Emmanuel Leroy qui a fondé une association venant en aide aux enfants du Donbass s’entretient avec Tv Libertés :
     
     
    Lucien Cerise reçu à Radio Sputnik pour son livre « Retour sur Maïdan, la guerre hybride de l’OTAN » (éditions Le retour aux sources) :
     
     
    Chronique de l’ouvrage collectif paru sous la direction de Christian Harbulot : « Le nationalisme économique américain ».
     
     
    Dans « La voie de l’épée », blog du colonel Michel Goya, celui-ci examine la décroissance continue des dotations de nos forces armées en moyens capacitaires et budgétaires depuis la fin des années 80 (première référence). Dans un article du Parisien où est cité le général Vincent Desportes, celui-ci confirme : « Un char sur deux est capable de rouler, un avion sur deux peut décoller, un bateau sur deux sortir en mer ! » (seconde référence) :
     
     
     
    S’aidant des concepts du droit romain, Jacques Sapir voit dans la démission du chef d’État-major des armées Pierre de Villiers un grave précédant susceptible de mettre en 
    cause la légitimité même du président de la République :
     
     
    Réduite à une impuissance désastreuse au Proche-Orient notre diplomatie animée par des réseaux néo-conservateurs à l’américaine regarde passer les trains. Afin de mettre un terme à cette situation, Richard Labévière plaide pour une réouverture de notre ambassade à Damas :
     
     
    Anecdote significative. On apprend que Jupiter au moment même où il se débarrasse d’Arès (son fils dans la mythologie...) visionne en compagnie de quelques happy few (BHL, Christine Angot et Fred Vargas) un médiocre documentaire sur la bataille de Mossoul, assurant surtout la promotion de son réalisateur. N’y a-t-il pas meilleur outil pour s’initier à la stratégie ?  :
     
     
    À ce propos rappelons que Le Monde Diplomatique vient de mettre tous ses articles concernant Bernard-Henri Lévy en accès libre afin de dénoncer une imposture qui ne tient que par le réseau mafieux qu’il contrôle. Le « philosophe » en a pris ombrage dans les colonnes du Point par une tribune au vitriol où il fustige pêle-mêle comme à son habitude le fascisme, l’anti-sionisme, le conspirationnisme, les rouges-bruns et les fake news. Bref, rien de très neuf dans l'arsenal faisandé qu’il nous sert depuis des décennies : 
     
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  • Massacre à Boboland...

    Les éditions Les Liens qui Libèrent ont publié en octobre dernier un aimable brûlot signé par Aude Lancelin et intitulé Le monde libre. Ancienne journaliste au Nouvel Observateur et à Marianne, puis directrice adjointe de l'Obs, dont elle a été brutalement licenciée, l'auteur règle quelques comptes et se livre, notamment, à un dézingage en règle des principales figures du milieu intello-médiatique parisien : Jean Daniel ("Le Narcisse de Blida"), Bernard-Henri Lévy ("ce philosophe Potemkine", "le sentencieux maître à penser", "le parrain de Saint-Germain"), Alain Minc ("barde de la globalisation enchantée et oracle de toutes sortes d'autres prévisions démenties"), Bernard Kouchner ("donneur de leçons invétéré de la gauche des «droits de l'homme»), Laurent Joffrin ("il ne renonçait jamais à dire tout le bien qu'il pensait de ses patrons").

    Au-delà de ce réjouissant jeu de massacre, l'auteur démonte également avec brio le système de soumission mis en place par les grands capitalistes qui ont pris le contrôle de la presse française.

    Si, comme le rappelle le portrait que l'OJIM a brossé d'elle, Aude Lancelin s'est parfois laissée aller dans certains articles à servir d'auxiliaire à la police de la pensée, il faut lui reconnaître d'avoir eu, avec ce livre, le courage de brûler ses vaisseaux... Et puis, quelqu'un qui apprécie Nietzsche, Philippe Muray et Michel Houellebecq, lit Michéa, Carl Schmitt et Joseph de Maistre et possède une belle plume, ne peut pas être vraiment antipathique !...

     

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    " Un an avant une élection présidentielle, la « numéro deux » du plus célèbre hebdomadaire de la gauche française est brutalement licenciée. Rapidement, des causes politiques à cette éviction seront évoquées par les médias. Le parti au pouvoir, traître à toutes ses promesses, se verra ainsi soupçonné d’avoir voulu remettre au pas « sa » presse, tandis que les actionnaires du « Monde libre », auquel appartient le journal, seront interpellés au sujet de leur rôle dans l’affaire. 

    Partant de ces événements, la journaliste Aude Lancelin livre ici le récit de ses quinze années passées au cœur des médias français, entre décadence d’un métier, opérations de police intellectuelle, et socialisme d’appareil à l’agonie. Une plongée sans précédent dans le « quatrième pouvoir », par quelqu’un qui l’a connu de l’intérieur. Un appel aussi à la résurrection d’une vraie gauche, et à la libération des journalistes. "

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  • Alain de Benoist : "J'ai l'impression que Valls a complètement pété les plombs !..."

    L'apparatchik de l'Hôtel Matignon perd son sang-froid... Après avoir poursuivi de sa vindicte le comique Dieudonné et avoir dénoncé les livres dangereux d'Eric Zemmour et de Michel Houellebecq, le voilà qui voue aux gémonies Michel Onfray, au prétexte que celui-ci préfère avoir raison avec Alain de Benoist que tort avec Bernard-Henri Lévy... Rarement, un chef de gouvernement a fait preuve aussi ouvertement d'un tel degré de stupidité et de sectarisme !...

    Grâce à nos amis du Blog Eléments, nous reproduisons ci-dessous la réponse d'Alain de Benoist, publiée sur le site du Point, aux propos affligeant de Manuel Valls...

    Onfray_Alain de Benoist_BHL_Valls.jpg

     

    Alain de Benoist : "Je me sens plus à gauche que Manuel Valls !"

    La polémique fait rage entre Onfray et Valls. En jeu, l'intellectuel étiqueté (très) à droite Alain de Benoist. Nous lui avons demandé ce qu'il en pensait.

    Le Point : Ce week-end, Manuel Valls a déclaré : "Quand un philosophe connu, apprécié par beaucoup de Français, Michel Onfray, explique qu'Alain de Benoist - qui était le philosophe de la Nouvelle Droite dans les années 70 et 80, qui d'une certaine manière a façonné la matrice idéologique du Front national, avec le Club de l'horloge, le Grece - [...] vaut mieux que Bernard-Henri Lévy, ça veut dire qu'on perd les repères." Manifestement, le Premier ministre préfère BHL à vous. Comment réagissez-vous à ses déclarations ?

    Alain de Benoist : Avec une certaine surprise, car c'est un propos inattendu. La question que je me pose est la suivante : pourquoi le Premier ministre, qui est en pleine campagne électorale, croit nécessaire, dans sa campagne électorale, de s'en prendre à Michel Onfray ? C'est un peu surréaliste. J'ai l'impression que Michel Onfray, dont Manuel Valls essaye de faire croire qu'il se "droitise" - ce qui à mon avis est tout à fait faux -, est le symbole d'une gauche restée fidèle à ses engagements de gauche. Onfray est un peu la statue du commandeur, il ne cache pas le mépris qu'il a pour la gauche sociale, libérale, réformiste incarnée par Manuel Valls. Il a été plus proche dans le passé du Front de gauche, donc, en s'en prenant à lui, Manuel Valls essaie de se débarrasser de quelqu'un qui le gêne parce qu'il lui donne mauvaise conscience.

    Deuxièmement, Manuel Valls lui reproche de préférer Alain de Benoist à BHL, je note que Michel Onfray n'a jamais dit cela. Il a dit qu'il préférait une idée juste émise par Alain de Benoist plutôt qu'une idée fausse émise par BHL, ce qui ne me paraît pas être une déclaration stupéfiante et révolutionnaire, mais, apparemment, cela pose des problèmes à Manuel Valls.

    Troisièmement, voir Manuel Valls me faire cette publicité un peu involontaire est étonnant, car je ne doute pas qu'il ne connaît pas une ligne de ce que j'ai pu écrire dans ma vie. Il recopie les fiches qu'on lui a transmises. Je n'ai jamais fait partie du Club de l'horloge, il m'attribue la paternité de la matrice idéologique du FN, ce qui a dû bien faire rire les gens du Front. Bref, il parle de ce qu'il ne connaît pas. J'ai l'impression qu'il a complètement pété les plombs. C'est un homme ambitieux et nerveux qui fait des coups de menton un peu mussoliniens, mais cette espèce de mauvaise humeur perpétuelle cache plutôt un certain désarroi, une incertitude de soi. Il fait partie d'une classe dirigeante qui constate que tout est en crise, que tout s'effondre et qui a le sentiment que le sol se dérobe sous elle. Ses déclarations apocalyptiques selon lesquelles Marine Le Pen peut arriver au pouvoir en 2017 - ce que je ne crois pas - sont faites pour terroriser l'opinion, on est dans une espèce de climat de "terrorisation", si je peux employer ce terme.

    N'est-ce pas un peu schizophrénique de la part de Valls d'expliquer d'une part que la France va se fracasser contre le FN et d'autre part de stigmatiser ceux qui, à gauche, seraient coupables d'accointances avec une droite qu'il juge trop à droite ? Pointer du doigt Onfray revient à affirmer que la gauche est incapable d'évoluer, de se remettre en question, quelle que soit la menace.

    Je vais vous faire une confidence, je me sens beaucoup plus à gauche que Manuel Valls ! Apparemment, le Premier ministre s'adresse à des gens qui croient que le clivage gauche-droite garde une certaine validité, alors qu'il m'apparaît complètement obsolète, je crois qu'il a été remplacé par un clivage entre les partisans et les adversaires de la globalisation, ceux qui en profitent, ceux qui en souffrent.

    Dans le dernier numéro d'Éléments, vous appelez Michel Onfray à vous rejoindre...

    Pas à nous rejoindre ! Onfray a un souci aigu de son indépendance, je m'en voudrais d'y porter atteinte. Je pense que tous les gens qui se sentent un peu mal dans cette société dominée par les rapports de classes et la logique de l'argent ont tout intérêt à se rencontrer et à bavarder un peu

    Entre lui et vous, lequel des deux a évolué ?

    Tout le monde évolue et surtout la situation évolue. Je ne dis pas ce que je disais il y a 25 ans, et c'est la même chose pour Michel Onfray. 

    À vos yeux, le clivage droite-gauche est obsolète, vous participeriez aujourd'hui à une aventure qui s'appellerait la Nouvelle Droite ?

    La Nouvelle Droite n'a jamais été une autodésignation, ce sont les médias qui, en 1979, ont dit : "Ah, extraordinaire, il y a une nouvelle droite", à l'époque je n'étais pas ravi de cette expression, à la fois parce qu'elle avait un caractère très politique, alors que je ne suis pas un acteur de la vie politique, et aussi parce qu'elle nous enfermait dans une dénomination très réductrice. Au cours de ma vie, j'ai adressé des critiques incessantes à beaucoup de gens de droite, donc je n'ai jamais beaucoup aimé cette étiquette. Mais quand une étiquette a été lancée comme ça, on est obligé de l'assumer. Repartir dans une nouvelle aventure, oui, mais je ne le ferais certainement pas sous cette étiquette-là aujourd'hui.

    Alain de Benoist, propos recueillis par Laureline Dupont (Le Point, 9 mars 2015)

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  • Bernard-Henri Lévy à la loupe (seconde partie)...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous la seconde partie de l'enquête réalisée par l'Agence Info Libre sur Bernard-Henri Lévy, figure de proue de l'intellocratie médiatique parisienne depuis plus de quarante ans...

    Bernard-Henri Lévy à la loupe (première partie)

     


    La vérité sur Bernard-Henri Lévy (À la loupe 2... par agenceinfolibre

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  • Bernard-Henri Lévy à la loupe...

    Vous pouvez découvrir ci-dessous l'enquête réalisée par l'Agence Info Libre sur Bernard-Henri Lévy, figure médiatique majeure de l'intellocratie parisienne la plus arrogante et la plus nuisible, depuis près de 40 ans...

     


    La vérité sur Bernard-Henri Lévy (À la loupe#2... par agenceinfolibre

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